Au contraire de la cigale, le puceron de pourra pas se plaindre de l'indifférence de la fourmi à son égard. et ce n'est pas la chair tendre du puceron qui fait que la fourmi, portant omnivore lui prodigue des soins attentifs, mais le miellat que les aphidiens secrètent dont les fourmis raffolent.
J'ai observé en particulier LASIUS NIGER, la fourmi noire des jardins , 3 à 4 mm, brun-noir, très commune. Je la rencontre partout et souvent dans le jardin, spécialement sur mes fleurs, et ce n'est pas bon signe, car qui dit fourmi, dit puceron.
Les fourmis font l'élevage de pucerons car elles sont très friandes du miellat que les aphidiens secrètent par l'anus ( beurk quand même, hein?). pour l'obtenir elles cajolent les pucerons en leur tapotant l'arrière train avec leur antennes. Le pucerons répond à la sollicitation en libérant une goutte du précieux liquide. Le plus curieux, c'est que ce miellat , (le trop plein de la sève de MES rosiers) est une substance très sucrée et pauvre en azote, mais qui favorise aussi le développement d'un champignon (fumagine) .
Les pucerons qui vivent sans fourmis, projettent le plus loin possible leur déjections, pour se protéger de la fumagine, tandis que lorsqu'elles sont colonisées par les fourmis, elles le délivrent gentiment , "à la demande". Concrètement cela signifie que , en principe, la plante ne souffre "que " de l'attaque des pucerons, rarement fatale, et pas de la fumagine, qui elle peut causer des dégâts plus importants et est assez disgracieuses ( les feuilles sont recouvertes d'une substance noire, qui bloque la photosynthèse et asphyxie la plante)
Les fourmis fréquentent également pour leur miellat, les cochenilles.
Par ailleurs, les fourmis contribuent au développement des pucerons, qu'elles transportent sur diverses plantes.
Elles les protègent des prédateurs, les déplaçant à l'abri lorsqu'ils sont menacés.
Récemment , j'ai observé une fourmi attaquant une coccinelle.
Une autre fourmi vient lui prêter main forte, obligeant la coccinelle à se se replier sous la fleur, où elle reste ensuite immobile.
Une vue plus large de la scène permet de voir que la fleur est également habitée par des pucerons et que les fourmis ont simplement protégé leur précieux fournisseurs de miellat.
Les fourmis font l'élevage de pucerons car elles sont très friandes du miellat que les aphidiens secrètent par l'anus ( beurk quand même, hein?). pour l'obtenir elles cajolent les pucerons en leur tapotant l'arrière train avec leur antennes. Le pucerons répond à la sollicitation en libérant une goutte du précieux liquide. Le plus curieux, c'est que ce miellat , (le trop plein de la sève de MES rosiers) est une substance très sucrée et pauvre en azote, mais qui favorise aussi le développement d'un champignon (fumagine) .
Les pucerons qui vivent sans fourmis, projettent le plus loin possible leur déjections, pour se protéger de la fumagine, tandis que lorsqu'elles sont colonisées par les fourmis, elles le délivrent gentiment , "à la demande". Concrètement cela signifie que , en principe, la plante ne souffre "que " de l'attaque des pucerons, rarement fatale, et pas de la fumagine, qui elle peut causer des dégâts plus importants et est assez disgracieuses ( les feuilles sont recouvertes d'une substance noire, qui bloque la photosynthèse et asphyxie la plante)
Les fourmis fréquentent également pour leur miellat, les cochenilles.
Par ailleurs, les fourmis contribuent au développement des pucerons, qu'elles transportent sur diverses plantes.
Elles les protègent des prédateurs, les déplaçant à l'abri lorsqu'ils sont menacés.
Récemment , j'ai observé une fourmi attaquant une coccinelle.
Une autre fourmi vient lui prêter main forte, obligeant la coccinelle à se se replier sous la fleur, où elle reste ensuite immobile.
Une vue plus large de la scène permet de voir que la fleur est également habitée par des pucerons et que les fourmis ont simplement protégé leur précieux fournisseurs de miellat.
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